La fessée ne se limite pas à taper sur des fesses. Il y a certaines étapes avant, pendant et après.

Par principe, il n’y a pas de règle absolue, faites comme bon vous semble, ce document a pour objectif de décortiquer les étapes avec l’analyse psychologique.

Si la fessée peut être immédiate suite à une faute, il est intéressant de la programmer et donc de la reporter pour que la personne punie ait le temps d’y penser. La personne punie médite en passant parfois par de la révolte, de la crainte, de l’angoisse, ..... mais quoi qu’il en soit, elle y pense et l’associe à sa faute.

(Prenez votre temps, il joue pour vous)

Il est possible de :

1°) La sermonner mais en essayant de choisir la position à votre avantage. Exemple, vous assis, elle debout mains derrière le dos. (Les doigts ou les mains des punies s’enroulent, se serrent allez donc savoir pourquoi.....)

2°) Lui demander d’aller chercher tel ou tel instrument. Accepter d’aller le chercher, c’est déjà accepter la punition. Pour certaines personnes, cela génère l’excitation, l’angoisse, la honte, la gêne, ..... parfois plusieurs sentiments s’associent.

3°) Lui demander de s’installer à l’endroit par vous décidé. Cela peut être :

• Debout dans la chambre

• Au coin où elle retournera après la fessée

• Penchée sur une chaise (ou autre) fesses exposées.

• ......

Commentaire et options :

Dans toutes ces étapes prenez votre temps, laissez mûrir, pardon, méditer le temps joue pour vous.

A ce niveau là, vous pouvez lui demander de faire voir ses fesses / sa culotte, de remonter sa jupe ou de baisser son pantalon, d’être nue ou de vous réserver le soin de baisser vous-même la culotte.

Il en existe des dizaines. Vous pouvez vous limiter à une ou en utiliser plusieurs quelques exemple :

• Couchée sur vos genoux (la plus classique, la plus « régressive » aussi dans le sens où cela rappelle la jeunesse....)

• Penchée en avant sur une table

• A genoux sur quelque chose (table, banc, une ou deux chaises)

• Allongée sur un lit (ou autre) avec un coussin sous le ventre pour bien exposer les fesses.

• Couchée sur le dos jambes relevées. Cette position s’appelle la position « diaper » en référence au moment où les parents changeaient votre couche de bébé. Cette position expose totalement l’intimité et est une des plus douloureuses pour cause d’épiderme et chair tendues.

Il existe bien d’autres positions.....

Il y a des dizaines de façon de la donner.

A la main

A la savate

A la brosse à cheveux

A la ceinture

Au paddle

Au martinet

A ....

Quelques commentaires :

Vous pouvez ne donner la fessée qu’à la main ou varier les plaisirs, pardon, instruments.

Si la fessée est réellement punitive et non pas un simple rituel comptant de vos pratiques et fétichismes, il est important de commencer fortement.

Si c’est un jeu coquin et simplement piquant, démarrer doucement pour « s’échauffer » est conseillé.

Petite tricherie des punies : si la punie croise les pieds ou les jambes, cela l’aide à supporter la douleur. Libre à vous de lui demander de les laisser serrés ou pas.

Les séries de claques / coups rapides font plus mal que les coups bien séparés, le cerveau n’ayant pas assez de temps pour gérer la douleur des impacts. C’est très utile lorsque la personne commence à s’habituer à la douleur.

Une claque sur les cuisses fait mal et perturbe, très utile en cas de besoin de « « recadrage » » pendant la fessée.

Si vous la grondez en la fessant, cela la perturbera et castrera son éventuel plaisir.

Faire compter les coups à haute voix castre son éventuel plaisir, la personne ne pouvant pas se concentrer sur ses sensations/douleurs. Si vous avez décidé de donner 50 claques / coups, les faire compter à l’envers est pire ! (Cela peut être 50 coups de plusieurs instruments....)

Là aussi, prenez votre temps ! ! !

Un merci « monsieur » de sa part est vivement conseillé dans le cadre de l’acceptation de l’autorité que vous représentez.

Rien ne vous oblige à changer la position en 3 secondes ! Laissez-là en bonne place quelques minutes, elles lui sembleront longues....

Un passage au coin, culotte sur les pieds / mains derrière la tête lui permet de méditer encore à sa faute et à ce qu’elle vient de vivre. Le temps du coin peut être agrémenté de solutions plus sadiques comme, à genoux sur des grains de riz crus, sur quelque chose de très dur, sur.......

Ce temps est très important pour la personne punie. En acceptant la fessée et toutes vos règles de cette punition, elle a purgé « sa peine », vous n’avez pas besoin d’en rajouter mais devez lui donner un peu de tendresse. « Qui aime bien châtie bien » mais câline aussi façon papa/maman.

Si après vous désirez vous jeter sous la couette, c’est votre histoire, pas celle du protocole de la fessée.

TSM (Maître et fesseur)

Note de l’auteur :

Ce document n’est qu’une trame, des idées, des conseils ou des pistes. Même si ce protocole fonctionne à merveille, à chacun sa façon de fonctionner.

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